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RDC : La Sonas, Congo Airways, AJ. Gallagher… satisfaits du renouvellement de réassurance des avions !

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@Zoom eco Sonas SA

La Société Nationale d’Assurances (Sonas) S.A, Congo Airways et la Présidence de la République ont exprimées leur satisfaction des conditions de renouvellement de la couverture de réassurance d’aéronefs congolais avec le courtier international de réassurances, Arthur J. GALLAGHER. C’était autour d’une rencontre de routine qui se fait, une fois l’an avec les parties prenantes ci-haut citées.

Ce contact, du reste très fructueux, a fait l’objet de plusieurs séances de travail. D’abord au restaurant ZAMANI, le 1er mars 2017, et ensuite, au siège administratif de la Sonas, le 3 mars en cours, entre la délégation d’Arthur J. Gallagher, quatrième courtier mondial de réassurance agréé auprès de Lloyds à Londres, d’une part, et une équipe mixte composée de représentants du Cabinet du Président de la République et la Sonas S.A, assureur conseil du gouvernement en RD-Congo, d’autre part.

C’est une initiative prise au sommet de l’Etat, qui a instruit la direction de la Sonas S.A, sous la clairvoyance de Mme Carole Agito, son DG a.i, d’inviter la délégation d’A.J Gallagher à Kinshasa, aux fins de renégocier des conditions du renouvellement de la souscription des polices d’assurances des avions gouvernemental et présidentiel pour l’exercice 2017-2018. Il en est de même, pour les quatre avions de Congo Airways, cette compagnie aérienne de droit congolais.

A tout prendre, les gros risques assurables tels que les avions ou navires, ne sont pas l’apanage, seule, de la Sonas S.A, quoique cette dernière, intervienne pour la perception de la prime d’assurance qu’elle va reverser, à son tour, auprès d’un réassureur international qui prendra soins d’indemnisation en cas de gros sinistre. Pour le cas de la RD-Congo, c’est le courtier Arthur J. Gallagher qui est habilité à le faire. Comme quoi, la crainte de souscription d’assurances que peuvent exprimer certaines compagnies d’aviations, au risque de ne pas bénéficier de la couverture de responsabilité en cas de sinistre, reste infondée.

Du contexte
En ce qui concerne l’aviation présidentielle, les pourparlers se sont focalisés autour de l’obtention de réduction de la prime à payer pour l’exercice 2017-2018 d’autant plus que les avions Boeing 727-100 9Q-CDC et le Gulf Stream GIV 9 Q-CGC dont les conditions de sécurité et de confidentialité doivent être garanties, n’effectuent que des vols VIP et non pas des vols commerciaux. En tant que tel, ils sont très peu sollicités et ne font pas beaucoup d’heures de vols par année.

De même, les pilotes et personnels techniques sont suivis pour leur remise à niveau et le renforcement de leur capacité par des séances au « simulateur de vol » auprès du Centre de Formation de la PANAM à MIAMI « USA ».
Fort de ce qui précède, l’on doit se mettre à l’évidence que si le président de la République en tant qu’institution, se démène à se conformer à la loi, en faisant renouveler la réassurance de l’aviation présidentielle, à combien plus forte raison, les compagnies privées ou les particuliers, ne le feront-ils pas? S’interroge un agent de la Sonas S.A.

Récupérer la prime auprès de Coopers Gay
Par ailleurs, A.J Gallagher devrait, également, tout faire pour aider la Sonas S.A à récupérer la prime auprès de réassureur Coopers Gay, basé à Londres, dans le dossier d’un litige du Jet du Gouvernement, le Gulf Stream GIV 9Q-CGC, dont le prix sur le marché a baissé.
A en croire le Conseiller juridique de l’Assistant logistique du Cabinet du Chef de l’Etat, la valeur assurée est passée de 7.000.000 USD à 4.000.000 USD avec changement de membres d’équipage.

Respect du Code des assurances
Il convient de rappeler que le secteur des assurances en RD-Congo a été libéralisé conformément à la Loi n°15/005 du 17 mars 2015, portant Code des Assurances qui est entrée en vigueur, le 17 mars 2016.
De ce fait, toute entreprise d’assurance ou réassurance doit s’y conformer, en plus d’être agréée par l’Autorité de Régulation et de Contrôle des Assurances, (ARCA) dont les animateurs ont été nommés, en novembre 2016.

Les satisfécits de parties prenantes
Pour la Sonas S.A, cette réunion a permis de passer en revue l’état des lieux des contrats qui sont souscrits par ses clients placés sur le marché de réassurance. Les relations entre ses Clients placés sur le marché de réassurance avec la maison Gallagher sont au beau-fixe.
A son tour, le DG d’A.J Gallagher, William COLTART n’a pas caché sa totale satisfaction, d’avoir eu avec la Sonas et Congo Airways, un dialogue franc et sincère dans le respect mutuel.

Pour sa part, Congo Airways, rappelle aux exploitants des avions, le risque énorme qu’ils encourent. C’est pourquoi, il les invite chacun, à payer la prime d’assurance et réassurance à la Sonas S.A pour que tout ce qui a comme risque et responsabilité soient couverts.

A cours de cette réunion importante, qui s’est tenue à la Sonas S.A, Madame DG, Carole Agito empêchée, fut représentée par Richard Kapena Ditolo, Directeur des Transports. Congo Airways, représenté par son Directeur Général M. Balazire Bantu Désiré. Tandis que la délégation d’A.J Gallagher, par son DG William Coltart, accompagné de Benedict G.POTHECARY.

Pour la réunion du 1er mars au restaurant Zamani, le Cabinet du Président de la République, fut représenté respectivement, par Désiré FUNDI MOTULA, Conseiller juridique de l’Assistant Logistique du Chef de l’Etat et Me Christian UREDI, chargé d’Etudes au Bureau du Directeur de Cabinet du Chef de l’Etat.

La Pros./Zoom Eco

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