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Félix Tshisekedi : « grâce à l’IGF, nous avons réussi à juguler la mauvaise gestion dans les institutions »

Le travail abattu par l’Inspection générale des finances (IGF) au cours du premier quinquennat de Félix Tshisekedi a toujours été salué par ce dernier.
Au cours d’une émission diffusée sur les antennes de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), dans le cadre de la campagne électorale, le Président Félix Tshisekedi et candidat à sa propre succession à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023, a indiqué que si le pays a atteint, pour la première fois de son histoire, un budget de l’ordre de 16 milliards de dollars américains, c’est grâce aux efforts de lutte contre la corruption menée par l’Inspection générale des finances.
« Nous sommes le régime qui a mobilisé le plus des ressources financières notamment avec un budget de 16 milliards de dollars américains. Cela veut dire qu’on a réduit les détournements. », a déclaré le Président de la République, Félix Tshisekedi.
D’après lui, le travail effectué par Jules Alingete et l’Inspection générale des finances a permis de réduire les pratiques de corruption dans le secteur public en RDC.
« Nous avons travaillé pour juguler ces pratiques de la corruption. L’IGF à qui j’ai donné un pouvoir régalien a fait un travail très appréciable. L’IGF existait avant mais elle était une coquille vide. Aujourd’hui grâce à son inspecteur général , on a réussi à juguler beaucoup de cas de mauvaise gestion. », a déclaré le candidat président de la République numéro 20.
Depuis la nomination de Jules Alingete à la tête de l’IGF, cet organe de contrôle administratif est devenu l’image emblématique de la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics.
Le travail de l’IGF a été reconnu même en dehors de frontière de la République Démocratique du Congo où elle était primée par plusieurs organisations internationales de lutte contre la corruption.
Mais ce travail doit être appuyé par l’instance judiciaire du pays pour décourager les pratiques de corruption et de détournements des deniers publics qui ont élu domicile au sein des institutions de la République Démocratique du Congo.