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RDC : affaire Kimia Investment Mining, le CAMI dénonce un acharnement contre Jean-Félix Mupande

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Mupande @Zoom eco

Après des invectives et autres contre-vérités distillés contre son directeur général Félix Mupande depuis quelques jours, le Cadastre minier (CAMI) vient de faire une mise au point pour rétablir ce qu’il estime être la vérité de faits dans ce dossier.

Selon ces personnes mal intentionnées dénoncées par le CAMI, Jean félix Mupande aurait été corrompu pour ainsi autoriser la cession d’un carré minier aux tiers. Allusion faite à la cession confiée à la cession du carré minier qui oppose Fifi Odia et la société Kimia Investment mining.

Dans la mise au point publiée à ce sujet, le CAMI indique que l’affaire Fifi Odia et la société Kimia Investment Mining est une cession dument conclue en 2017 et non en 2019, conformément aux lois de la République.

« A la faveur de l’enregistrement de cette cession, en janvier 2018 la Société Kimia s’est servie des complicités internes des agents véreux pour délocaliser le droit cédé, de Kipushi à Mambassa, du reste sur un périmètre libre de droit de tiers. En mai 2020, informé des doléances de la Coopérative minière de l’Ituri (COMITURI) en conflit d’occupation de site avec Kimia, le directeur général du CAMI va diligenter un audit interne qui aboutira au constat de forfaitures dans le chef des agents précités. Le Code minier n’autorisant pas un tel acte, après aveux devant la commission de discipline, ils ont ils ont été sanctionnés par la Direction générale du CAMI, et non le ministre des Mines, conformément au Code du Travail, au Statut du personnel du CAMI et à la Convention Collective », indique le communiqué du CAMI.

Et d’ajouter : « Il s’avère donc qu’il n’y a jamais eu de titre minier d’autrui acheté ou vendu par le CAMI, encore moins la facilitation par son Directeur Général d’une quelconque transaction moyennant un certain paiement. L’allusion de corruption à son endroit n’est qu’une machination ourdie par des personnes malveillantes qui cherchent à nuire au directeur général MUPANDE et à ternir la réputation assise du CAMI comme fer de lance du secteur minier en RDC. Le Cadastre Minier et son Directeur General sont ouverts et transparents à qui chercherait à obtenir la bonne information sur ses activités plutôt que se livrer à la calomnie au risquer de verser dans les imputations dommageables ».

A RE(LIRE) : le CAMI publie le « Code minier révisé et annoté » pour le besoin de la vulgarisation

Pour rappel, depuis le lundi 31 juillet 2020, le Cadastre Minier (CAMI) est mis en cause, à travers son directeur général, par une certaine opinion « mal informée » de ses activités.

Il rappelle à cet effet qu’il est un service important et stratégique créé en 2002 par le Code Minier et mis en place en 2003. Il s’occupe de la gestion du domaine minier ainsi que des titres miniers pour le compte de l’État Congolais.

Dirigé depuis novembre 2005 par le Jean Félix Mupande, le CAMI est guidé par les principes fondateurs de transparence et de bonne gouvernance inscrits dans le Code Minier. Et à ce jour, précise le communiqué, Jean Félix Mupande n’a ménagé aucun effort pour faire du CAMI un service d’excellence, performant et de référence au plan national et international dans le secteur des mines. 

« Les résultats parlent d’eux même, que cela soit pour l’augmentation des revenus publics provenant de la gestion du domaine minier où la confiance observée dans le chef des investisseurs qui affluent régulièrement pour participer à la mise en valeur de richesses minières du sous-sol. Se référant à l’exemple d’organisation mise en place par le directeur général Mupande au Cadastre Minier, la Banque Mondiale recommande régulièrement à plusieurs pays subsahariens de s’inspirer du modèle congolais pour la mise en place et la modernisation de leur cadastre. A ce titre plusieurs, délégation ont défilé à Kinshasa en visite d’étude, notamment le Bukina Faso, le Cameroun, Congo/Brazza…d’autres sont en pipeline… », se félicite le CAMI.

Et au regard de ce caractère exemplaire de sa gestion, le CAMI estime que les accusations portées sur la personne du directeur général Mupande n’ont aucun fondement. Car, se basant sur des ragots qui ont travesti la vérité. 

Olivier KAMO

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