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RDC : Sicomines SA s’insurge contre le harcèlement exercé par l’ONG African Resources Watch sur son entreprise( Tribune)
Malgré le rapport d’experts sur la bonne gestion des eaux, Afrewatch poursuit ses affirmations contre la SICOMINES S.A. qui ne contribuent pas au développement des communautés, révèle sur son blog, le journaliste indépendant Héritier Katangola.
Ainsi, Sicomines SA s’insurge contre ce harcèlement de la part de cette ONG.
Opposée au rapport d’enquête des experts de la Direction de la Protection de l’Environnement Minier (DPEM/Lualaba), indique ce professionnel de la plume, l’ONG African Resources Watch (AFREWATCH) a organisé un point de presse à Kolwezi, le 23 mai 2022 au sujet de la pollution de la rivière Kalemba qui draine les villages Yenge et Kapanga.
Il note dans ses lignes, que, sans recul, Afrewatch a malignement accusé la Joint-Venture Sino-Congolaise des Mines (SICOMINES S.A.) d’avoir provoqué la pollution des eaux de Kalemba.
Mais sur quelle base donc, se demande-t-il, citant une documentation douteuse, non authentique et sur-interprétée constituée des photos et vidéos qui avaient déjà fait le tour des réseaux sociaux.
Pour le journaliste Katangola, pendant que la SICOMINES S.A. conjointement avec la DPEM/Lualaba avaient mené une enquête officielle dont les conclusions publiées dans un rapport établi par la DPEM/Lualaba avaient souligné, sans équivoque, « l’importance qu’attribue la société SICOMINES S.A. SA dans la gestion environnementale de sa concession minière, et qui disponibilise des moyens matériels et financiers colossaux pour l’entretien de ses deux bassins de rejet avec une technologie évidente pour son exploitation minière ». C’était alors en avril 2022.
Il ajoute que la DPEM/Lualaba, après avoir minutieusement analysé et même par la suite visionné les images de la vidéo publiées par AFREWATCH le 22 mars 2022 impliquant la société SICOMINES S.A., dans l’irrigation du barrage empêchant les eaux usées affluant d’une concession minière, la DPEM/Lualaba a relevé dans son rapport que « les images telles qu’elles sont décrites dans la vidéo et dans le communiqué N°03/AFREWATCH/2022 de l’ONG AFREWATCH ne reflètent pas les réalités du terrain ».
Qu’y a-t-il eu de nouveau pour que l’ONG revienne à la charge ? A-t-elle collecté de nouvelles informations ? A-t-elle procédé à une contre-expertise du rapport officiel ? Visiblement, elle n’en a pas besoin.
Selon lui, l’objectif d’AFREWATCH n’est pas humanitaire. L’ONG qui utilise les habitants de Yenge et Kapanga comme fonds de commerce à travers des manipulations, distille des contre-vérités pour faire chanter la SICOMINES S.A.
La société à capitaux congolais et chinois s’abrite derrière le soutien des communautés locales et sa conformité environnementale, par rapport aux lois en la matière, évoque-t-il en outre.
A cet effet, la SICOMINES S.A. déplore par ailleurs un article publié récemment par l’Agence Congolaise de presse (ACP) https://acpcongo.com/index.php/2022/04/18/kinshasa- pollution-des-eaux-des-villages-yenge-et-kapanga-la- SICOMINES S.A.-s-a-lavée-par-les-enquêtes-de-la-dpem.
Pour ce journaliste, plusieurs ONG s’illustrent dans la déformation de l’information afin de ternir l’image de SICOMINES tant au niveau national qu’international.
Il rappelle ainsi l’engagement de SICOMINES à accompagner la RDC dans son développement ainsi qu’à promouvoir le respect de la vie humaine dans la protection de l’environnement.
Héritier Katangola