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Afrique : les lauréats du concours YouthADAPT bénéficieront d’un appui financier de 100 000 USD

Le Centre mondial pour l’adaptation, la Banque africaine de développement et les Fonds d’investissements climatiques lancent un appel à candidatures pour la deuxième édition du concours African Youth Adaptation Solutions (YouthADAPT).
L’appel à candidature concerne les jeunes entrepreneurs âgés de 18 à 35 ans qui sont invités à soumettre leur plan d’affaires sur le portail de candidature.
« Les entreprises doivent être dirigées par des jeunes et offrir des solutions qui répondent aux défis de la vie réelle. Ils doivent être immatriculés en Afrique et y opérer, et être en outre, capable de justifier de revenus pendant au moins deux ans. 50 % des finalistes seront des entreprises appartenant à des femmes ou dirigées par des femmes. », renseigne le communiqué de la BAD.
La date limite de dépôt des candidatures est fixée au mardi 4 octobre 2022.
En effet, les 20 lauréats recevront chacun 100 000 dollars américains et bénéficieront en outre d’une formation d’un mentorat et d’un accompagnement pour promouvoir leur innovation en matière d’adaptation au changement climatique dans leur communauté et sur l’ensemble du continent.
Signalons que « YouthADAPT » est un concours organisé annuellement par la Banque et ses partenaires qui visent les jeunes entrepreneurs et les micro, petites et moyennes entreprises en Afrique. Ces derniers soumettent des solutions innovantes et des concepts commerciaux capables de stimuler l’adaptation au changement climatique et la résilience à travers le continent.
L’entreprise ou le produit commercialement viables ne doit pas être d’usage courant.
Il y a lieu de noter que le concours fait partie de l’un des piliers du Programme d’accélération de l’adaptation en Afrique (AAAP), un partenariat stratégique entre le Centre mondial pour l’adaptation et la Banque africaine de développement. Il vise à faire face aux effets conjugués de la pandémie de Covid-19, du changement climatique et de la crise économique.
Agnès KAYEMBE
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