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Afrique: soucieux de l’essor des startups africaines, Microsoft s’accorde avec plusieurs investisseurs capables de fournir jusqu’à 500 millions USD de financement potentiel
Il existe aujourd’hui plus de 640 hubs technologiques actifs à travers toute l’Afrique qui contribuent fortement à accélérer l’innovation et à créer de l’emploi, en particulier auprès des jeunes. C’est ce qu’a indiqué le Directeur Général de Microsoft Africa Transformation Officen, Wael Elkabbany.
D’après lui, le marché africain des startups représente encore moins d’un pour cent du total des investissements dans le monde.
Il faut que cela change, a martelé Wael Elkabbany.
Pour permettre à ces startups de se développer encore plus rapidement, Microsoft vient en effet de conclure plusieurs alliances industrielles ainsi que de nombreux partenariats avec des investisseurs en capital-risque qui seront capables de fournir jusqu’à 500 millions de dollars de financement potentiel.
Il faut noter que ce financement proviendra d’un réseau d’investisseurs en capital-risque qui consacreront une partie de leur soutien financier aux startups africaines du réseau Microsoft.
Par ailleurs, Elkabbany a précisé que l’effort de Microsoft pour accroître considérablement l’impact des startups en Afrique sera guidé par une stratégie globale comportant trois domaines d’intervention clés notamment :
– Le Founders Hub qui offre aux startups la possibilité de vendre leurs produits à des entreprises clientes de Microsoft;
– Des partenariats avec des startups clé : Ici, Microsoft adaptera chaque partenariat aux besoins de chaque startup, en lui fournissant un soutien et un accès ciblé à la technologie qu’elle souhaite, mais aussi aux marchés, aux opportunités de co-vente, au financement ou aux compétences numériques, afin de lui permettre de se développer de la manière la plus cohérente qui soit et de contribuer à la croissance économique de l’Afrique;
– Partenariats avec des investisseurs en capital-risque:
Microsoft a établi une multitude de partenariats avec des investisseurs en capital-risque, et principalement avec ceux possédant une couverture mondiale doublée de bases régionales, et qui sont intéressés par une ou plusieurs régions d’Afrique.