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RDC : décaissement de 213 millions USD au titre de l’Accord de FEC, Sama Lukonde appelle son équipe à redoubler d’efforts

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le Ministere de la Fonction publique doit etre associe a la gestion des revendications des agents de lEtat insiste Sama Lukonde

Satisfait du décaissement de 213 millions de dollars américains du Fonds Monétaire International ( FMI), au titre de l’Accord de Facilité Élargie de Crédit, le Premier Ministre congolais, Jean-Michel Sama Lukonde, appelle son équipe à redoubler d’efforts.

Au cours de la 33ème réunion du Conseil des Ministres, le Premier Ministre Sama Lukonde a salué la note concluante et satisfaisante attribuée à la République Démocratique du Congo par le Conseil d’Administration du Fonds Monétaire International (FMI) à la suite de la première revue au titre de l’Accord de Facilité Élargie de Crédit, a rapporté le Ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya Katembwe.

Cet accord de Facilité Élargie de Crédit a en effet permis un décaissement immédiat de 213 millions de dollars américains en faveur de République Démocratique du Congo.

Considérant ce résultat positif à l’actif du Gouvernement, le Chef du Gouvernement congolais a tenu à encourager et à féliciter toute son équipe gouvernementale pour cet effort commun.

Il a insisté pour que les efforts soient redoublés. Car, dit-il, ce programme triennal permettra à la RDC de bénéficier d’un décaissement global de 1,5 milliard de dollars américains. D’où, la nécessité de maintenir le cap, insiste-t-il.

À titre de rappel, c’est depuis le mercredi 15 décembre 2021 que le Conseil d’Administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé ce décaissement de 212,3 millions de dollars américains en faveur de la RDC au titre de la deuxième tranche du programme triennal conclu entre les deux parties.

Le Fonds monétaire international a renseigné que malgré le contexte difficile marqué par la persistance de la pandémie de Covid-19, l’économie se redresse ; la croissance pour 2021-2022 a été révisée à la hausse à 5,4% et 6,2% respectivement, soutenue par une production minière plus élevée que prévue et un rebond de la croissance non extractive. L’inflation est restée ancrée à environ 5 pour cent. Des développements extérieurs meilleurs que prévus, soutenus par les prix élevés des matières premières, ont permis une augmentation significative des réserves internationales brutes à 3,3 milliards de dollars américains à la mi-octobre 2021 (contre 0,8 milliard USD fin 2020). Cela reflète des achats de devises plus proactifs par la Banque centrale et l’allocation générale de DTS du FMI à la fin août.

L’augmentation des recettes fiscales a permis des dépenses supplémentaires, principalement d’investissement, sans remettre en cause le déficit budgétaire de fin 2021.

Notons que tous ces indicateurs ont largement contribué dans la prise de décision du décaissement de la deuxième tranche de ce programme triennal.

Mitterrand MASAMUNA

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