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RDC : Denise Nyakeru visite les locaux devant abriter le Call center dédié aux violences basées sur le genre

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RDC : Denise Nyakeru visite les locaux qui abriteront le call center pour les violences basées sur le genre!

Chaque 19 juin, le monde célèbre la Journée Internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit. A cette occasion, la première dame de la République a visité les locaux qui vont abriter le Call Center pour la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG).

Un projet de la Présidence de la République supervisé par la conseillère du chef de l’Etat en matière des violences sexuelles et financé par le Fonds des Nations Unies pour la population et le bureau conjoint des nations unies aux droits de l’homme.

La lutte contre les VBG faisant partie de la vision de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi, ce Call center permettra aux victimes à travers le pays, non seulement de dénoncer mais aussi une meilleure prise en charge et une bonne gestion à distance de leurs différentes plaintes.

Après la mise en place de ce Call center, la présidente de cette fondation envisage mener un plaidoyer pour une mise en place rapide de la ligne verte 122 et surtout en cette période particulière de la COVID-19 où est observée une augmentation du nombre des cas de VBG.

Cette ligne sera opérationnelle dans les tout prochains jours, a rassuré, la première dame, le temps de finaliser avec la formation des prestataires, l’installation du matériel à la connexion avec les télécoms.

Pour rappel, c’était en 2015 que l’Assemblée Générale des Nations Unies avait adopté par consensus la résolution A/RES/69/293 proclamant le 19 juin Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit.

Une occasion pour sensibiliser à la nécessité d’y mettre un terme, de manifester de la solidarité envers les victimes et de rendre hommage à celles et ceux qui luttent en première ligne pour éliminer ces crimes.

La pandémie de COVID-19 a des conséquences désastreuses pour les victimes et les personnes rescapées de violences sexuelles liées aux conflits.

Ces violences font partie de crimes les moins souvent signalés et leur dénonciation a été rendue encore plus difficile avec la pandémie de COVID-19.

La maladie a limité la possibilité pour les victimes et les personnes rescapées de dénoncer ces actes et elle a aussi aggravé les obstacles structurels, institutionnels et socioculturels aux signalements.

Nadine FULA

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