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PFBC 2024 : la forêt de Miombo à Lubumbashi impactée par la production de charbons de bois

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La forêt de Miombo, située dans la ville de Lubumbashi, en province du Haut-Katanga, dans le Sud-Est de la République Démocratique du Congo (RDC) fait face à une forte pression liée à la production de charbons de bois.

Au cours d’un événement organisé par le Centre de recherche forestière international (CIFOR) en marge de la réunion des parties au partenariat pour les forêts du Congo à Kinshasa, les chercheurs du secteur forestier ont alerté sur la nécessité d’augmenter les revenus des populations locales.

Richard Eba’a Ayi, chercheurs au Centre de recherche forestière international (CIFOR) a souligné la nécessité de penser au reboisement principalement avec des espaces accrus pour pouvoir reconstituer le stock initial de cette forêt.

« Dans la ville de Lubumbashi, il y a une énorme pression qui est exercée sur la forêt de miombo pour faire le charbon des bois. Il est important de penser au reboisement principalement avec des espaces accrus pour pouvoir reconstituer le stock initial. », a dit Richard Eba’a au cours d’un événement organisé par le IFOR autour des reflexions sur un nouveau modèle de gestion des espaces forestiers.

Lors du même événement, les experts ont souligné la nécessité d’harmoniser les politiques publiques en matière de gestion durable des forêts pour réduire considérablement les tensions de plus en plus palpables entre le pouvoir public et le secteur privé.

« On sait actuellement que face au changement climatique, il y a la modification du taux d’accroissement en diamètre et en hauteur. Dans ce sens, si on se repose seulement sur les anciens tarifs de cubage pour pouvoir quantifier le volume de bois exploité, il aura vraisemblablement des écarts importants et ces écarts causent de pertes au privé en termes de tarification au gru me parce qu’il y un déficit entre le volume réel et le volume fourni par ces équations des tarifs de cubage. Donc il y a une nécessité d’utiliser des nouvelles technologies par l’usage de leader mobile pour quantifier zone par zone et massif forestier par massif forestier, le volume de bois et de déterminer le nouveau tarif de cubage. », a déclaré Raphaël Tsanga.

Nadine Fula

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